Entre le profil atypique de Paul Chaplin, son patron, et les gros budgets de ses productions, le studio Bluebird fait beaucoup parler de lui depuis le début de l’année. Hot Vidéo est allé enquêter sur ce phénomène.
Ca ne vous a certainement pas échappé, depuis quelques mois le studio Bluebird se retrouve de plus en plus souvent au cœur de l’actualité. Evidemment, quand on possède des studios à Los Angeles, Londres et Prague, cela semble finalement assez normal. Même si cela dénote quelque peu dans le paysage pornographique actuel, d’autant plus quand on connaît le profil atypique du grand patron, Paul Chaplin.
Gros budgets
Avocat d’affaires à Londres, producteur, réalisateur et même acteur des films estampillés Bluebird, rares sont les casquettes que ne possède pas le sieur Chaplin. Et pour profiter à plein de ce qui ressemble grandement à son joujou, il dépense sans compter. Il y a un peu plus d’un mois, il faisait ainsi signer un contrat d’exclusivité à l’actrice américaine Madelyn Marie. Et pour que celle-ci ne tourne pas en rond dans des gonzos, les projets dotés de gros budgets ne manquent pas.
Department S (Mission 1 : City of Broken Angels) est sorti en février dernier, Bat Fucks Dark Night devrait arriver sur nos écrans d’ici la fin de l’été tandis que le tournage de Bonny and Clide, avec notamment Julia Ann, Dylan Ryder, Bobbi Starr en plus de la contract girl Madelyn Marie, vient tout juste de se conclure. Peu de compagnies peuvent en dire autant aujourd’hui. Alors pour en découvrir davantage sur ce studio britannique, et voir si son modèle économique peut être viable, Paul Jérôme est allé à la rencontre du patron anglais lors de sa dernière escapade californienne. Toutes les réponses se trouvent dans le prochain numéro de Hot, disponible en kiosque dès ce vendredi.
Madelyn Marie en bonne compagnie sur le tournage de Passenger 69
Madelyn Marie
Sur le tournage de Passenger 69
Jenni Hendrix
Paul Chaplin
Paul Chaplin