Lumière sur The Cult, dernière production de Gazzman pour Harmony. Une ode à la voie jadis boueuse, mais désormais immaculée...
Sous prétexte de défendre le X scénarisé, on ne peut jeter le bébé avec l’eau du bain, en l’occurrence, balancer tous les gonzos dans la cheminée, même si la plupart valent à peine le qualificatif de combustible. Car avec The Cult, sa nouvelle livraison gonzo pour les Anglais de Harmony, le Scottish Gazzman prouve qu’une succession de scènes hard peuvent largement rivaliser avec un (mauvais) film à dialogues.
Casting, image, ambiance…
Primo : son casting affiche deux des actrices les plus chiennes du circuit : Megan Coxxx et Skin Diamond, que complètent les obscures mais non moins lubriques Linet Slag, Valentina et Yaiza Del Mar. Deuxio : la qualité de l’image. Bien cadrées et éclairées, les galipettes salaces de ces demoiselles vous feront frissonner de contentement, affichées sur un écran haute def. Revers de la médaille avec une telle définiton, le moindre poil incarné saute aux yeux mais tant chez Skin Diamond que chez Megan Coxxx, il faut y aller pour leur trouver des défauts rédhibitoires… Enfin tertio : Gazzman est très soucieux de l’ambiance qui se dégage de ses scènes via les décors et les costumes. Château, vieilles boiseries, donjon, latex cravache, godes-ceintures et tutti quanti : dès qu’un élément peut rajouter une touche perverse et malsaine à ses scènes, l’Ecossais ose tout et c’est à ça qu’on le reconnait…
