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A la rencontre du porno japonais

A la rencontre du porno japonais

 

Digital J Media propose du hardcore nippon de qualité, à destination du public américain. Une façon de connecter plus étroitement les fans occidentaux avec les AV Idols, déesses de leurs rêves moites.

 

 

L’initiative vient d’un réalisateur présent sur place, qui désirait bosser dans le milieu, mais s’est vite heurté aux différences culturelles et aux barrières érigées par les Japonais par rapport aux occidentaux. Ayant écumé les plateaux et prêté son membre à des scènes de bukkake, il s’est vite senti à l’étroit et limité dans ses aspirations créatives : « Ils partent du principe qu'un étranger n’est pas à même de comprendre leurs us et coutumes. » Ce qui l’a amené à créer sa propre maison de production.

 

En général, les équipes US ne viennent pas tourner sur place, parce que cela se révèle bien trop onéreux. Il affirme en sus : « les actrices japonaises coûtent le double de leurs homologues américaines. Sans compter que les cachets des grandes stars chiffrent de 3 à 10 fois plus. Il me semble que, quand Maria Ozawa était venue tourner à l’étranger, elle avait palpé quelque chose comme 40 000 dollars.

Qui plus est, la censure en application au Japon est très contraignante. Certaines agences refusent de travailler avec des étrangers et ne parlent pas anglais : « celles qui acceptent de collaborer avec nous dépendent d’individus louches, que je ne nommerai pas. »

 

Heureusement, grâce à sa ténacité et au réseau tissé dans le milieu, notre homme a pu rencontrer les bonnes personnes et AV girls, devenant dès lors le seul metteur en scène ricain en activité au pays d’Ozu (dans la sphère du cul).

 

Concernant la singularité de la production sur place : « pour l’essentiel, le contenu d’un DVD est filmé sur une seule journée. Une très longue journée… La majorité des actrices sont des cover girls et peuvent uniquement espérer être la star incontournable d’un film une seule fois. A la base, beaucoup travaillent avec un ou deux producteurs, bossent durant 1 ou 3 ans, puis disparaissent du circuit. C’est donc difficile de dénicher de nouveaux talents au Japon, si vous n’êtes pas une boîte de prod. établie. »

 

« Sur le set, les actrices sont hyper protégées et constamment entourées de personnes qui s’occupent de leurs moindres besoins. Aux Etats-Unis, l’industrie du porno est le lieu où vous échouez, si vous n’avez pas fait votre trou à Hollywood. Au Japon, c’est une porte vers le cinéma traditionnel. Contrairement au comportement de professionnels du business aux USA, Digital J Media s’inscrit dans ce profond respect des hardeuses.

 

D’un point de vue culturel, le porno n’est pas connoté négativement au Pays du Soleil Levant, comme il l’est ailleurs. Les habitants ne s’en offusquent pas et cultivent l’ouverture d’esprit. Une contrée aux mœurs supposément conservatrices, mais très portée sur la liberté sexuelle.

 

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