Joe Francis et « Girls Gone Wild » doivent à nouveau répondre d’une affaire de mœurs dans le cadre d’un tournage.
Joe Francis a le barreau
Joe Francis, le PDG de Girls Gone Wild, est à nouveau dans la ligne de mire de la justice. Alors que le tribunal de Los Angeles abandonnait hier les poursuites dans une affaire d’attouchements sur mineure, un cas similaire éclate à St Louis. La plaignante, Jane Doe, accuse deux producteurs de Mantra Films (une compagnie sœur de Girls Gone Wild) de lui avoir forcé la main pour un tournage amateur. En septembre 2005, deux membres de Mantra Films, caméra au poing, l’approchèrent au bar Rum Jungle. 
C’est alors qu’ils lui dégrafèrent son haut, découvrant sa poitrine, accuse Doe qui affirme s’être immédiatement détournée par pudeur. Pourtant, « les accusés ont utilisé l’image de la plaignante pour faire la campagne de publicité de leurs vidéos. Ils ont vendu et continuent à vendre « Girls Gone Wild Sorority Orgy » sans verser de compensation à Jane Doe », étaye l’accusation. Joe Francis risque de devoir payer 25 000 dollars. Une broutille face aux procès potentiels qui peuvent encore lui tomber dessus...
Par Nicolas Nykvist
Paru le 06 mai 2008
